iad France - Dalia Correia Saint-Martin-de-Boscherville

Cher dcroz, je comprends votre déception, mais j'aimerai replacer la situation dans son contexte. Votre bien immobilier était mis en vente, et nous avons reçu plusieurs offres d'achat, toutes inférieures au prix demandé. Cette baisse de prix était due aux travaux importants et nécessaires, car le bien était classé en catégorie G ainsi qu'une fosse septique à créer. Finalement, deux offres concurrentes sont parvenues simultanément, et les deux acheteurs ont négocié le prix à la baisse. Vous avez choisi l'offre la plus avantageuse, qui proposait un paiement comptant de 150 000 euros, et vous l'avez signée. Les documents ont été transmis aux deux notaires pour formaliser la promesse de vente. Il était impossible de prévoir qu'une personne, qui n'avait jamais visité la maison, ferait une offre de 165 000 euros une semaine plus tard, alors que vous aviez déjà accepté et signé l'offre à 150 000 euros. Je vous ai informé que si vous acceptiez cette nouvelle offre, je me retirerais de la transaction, car cela aurait pu entraîner des litiges juridiques, tant pour vous que pour moi. Cependant, vous étiez libre de vendre à la personne offrant 165 000 euros. À aucun moment je ne vous ai empêché de le faire. Je vous ai simplement mis en garde contre les risques légaux potentiels. Votre notaire vous a également conseillé de ne pas donner suite à l'offre de 165 000 euros. Il est important de souligner que de telles situations sont extrêmement rares et improbables. Nous avions tous un intérêt commun à obtenir le meilleur prix pour la vente, mais nous devons également respecter la loi. Je comprends votre déception, mais je ne suis pas en mesure de modifier les lois ni de prédire l'avenir. J'aurais préféré que les circonstances soient différentes. Je vous souhaite tout le meilleur pour la suite. Au plaisir de vous revoir. Cordialement. Dalia